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Page:Renard - Coquecigrues, 1893.djvu/247

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SCÈNE III


LE VIEUX. — LE JEUNE


LE VIEUX. — Tu es là, et je me distrais en traçant avec mon doigt une raie dans ta chevelure vierge. Tu me parles, et il me semble qu’un enfant pose ses pieds nus, chauds et tendres sur mon cœur.

LE JEUNE. — Maître, vous me ferez entrer dans un grand journal, dites ?…