Page:Renard - L’Écornifleur, Ollendorff, 1892.djvu/28

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— « Je vous demande encore pardon d’avoir terminé ce petit travail devant vous, mais Monsieur Vernet n’a plus rien à se mettre. »

Je regarde cet homme, pris de pitié, prêt à lui offrir mon linge. Un grotesque a pris ma place, parle en mon nom, caricaturise mes gestes, digère et s’empâte.