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L’ŒIL CLAIR
un volume et un déjeuner ; ensuite, le livre qui
fond dans l’eau salée ; c’est alors du lecteur lui-même
qu’on pourra dire qu’il boit un bouillon !
— Très drôle ; mais moi, je suis sérieux, je crie : casse-cou !
— Vous ne savez pas crier autre chose. Il faut pourtant vous habituer à ce qu’on ne se casse pas la g... chaque fois que vous en faites le vœu.
— Vous me dites tout ça pour que j’achète enfin votre livre ?
— Du tout : le premier des avantages du livre nouveau à bon marché, c’est que l’auteur peut, sans s’appauvrir, vous faire cadeau d’un exemplaire. Le voici, monsieur !