Page:Renard - La Lanterne sourde, Coquecigrues,1906.djvu/34

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Au bout de la rue, il ralentit le pas et se retourne. Il voit tout un pan de son immeuble. Il s’éloigne encore ; quand il n’aperçoit plus que le toit, il s’arrête, fixe les cheminées qui vacillent déjà, et pâle, écoute, l’œil sur sa montre calme, et la main sur son cœur déréglé.

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