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Page:Renard - La Lanterne sourde, Coquecigrues,1906.djvu/343

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Le sorcier adroit le rattrape, puis gonflant et dégonflant alternativement les joues, il souffle une tempête, phû ! phû ! sur le crapaud bientôt dompté, mort.

Ensuite il le pèle et le mange, comme une pomme de terre.

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