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Page:Renard - Le Coureur de filles.djvu/105

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LA DEMANDE

À Louis Béroud.

I


Dans la grande cour de la Gouille, Mme Repin lançait à sa volaille des poignées de grain. Ils s’envolaient régulièrement de la corbeille, suivant le rythme du geste, et s’éparpillaient en grésillant, sur le sol dur. La fine musique d’un trousseau de clefs entrechoquées montait de l’une des poches du tablier. En faisant des lèvres :

« Cht ! cht ! »