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Page:Renard - Le Coureur de filles.djvu/38

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LE COUREUR DE FILLES


leur disparition. Un agent, toutefois, leur avait fait l’article en disant :

— Un malin, celui-là, tenez !

Leroc avait pris le portrait :

— Un malin, vous dites ?

C’est égal, il se défiait et préférait attendre ; et, après avoir tous regardé, à la ronde, longuement, l’image peinte, et bien que, selon les deux sœurs, elle eût un faux air de Pierre alors soldat, ils l’avaient rendue, en garde contre les entraînements du cœur, les coups de tête et les dépenses qui ne servent à rien.