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RÉPIN, vernis de régisseur.
C’est que je n’aime guère boire que de bonnes choses, voyez-vous… Et alors, là, c’est par hasard que vous vous êtes trouvé à passer devant la ferme, ce matin ?
GAILLARDON, parisien deux jours par mois pour vendre ses bœufs.
Par hasard, oui… Vous savez que, chaque dimanche, j’ai l’habitude de faire la partie de cartes avec Jean Louvet ?
RÉPIN.
Oui.
GAILLARDON.
Mais le gaillard se marie.
MADAME RÉPIN, parler lent.
Avec qui donc ?
GAILLARDON.
Avec la fille au fermier Patu. Oh ! c’est bien assorti.
MADAME RÉPIN.
Et vous, m’sieu Gaillardon, ça ne vous tente point ?
GAILLARDON.
Quoi ? Ah ! de me marier ? Eh ! on y pense, madame Répin, on y pense. (Il boit.) Oui, on y pense.
RÉPIN.
Vous vous promenez tout seul, alors, ce matin ?
GAILLARDON.
Oui, et, même, en venant de votre côté, j’ai ren-