Page:Renard Oeuvres completes 1 Bernouard.djvu/171

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

est tout chargé d’une odeur de vieilleries. En résumé, des majuscules encombrantes comme des échafaudages ; trop de rime ; de la musique à nous donner mal au cœur, dans les oreilles ; trop de clarification, et de la césure à faire croire que le hoquet était dans la voix naturelle de ce poète.

Il est mort : c’est bien fait. Qu’il aille rejoindre, dans les limbes, les petites âmes innocentes.