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La Divine
u destin qu’un autre se plaigne
Car c’est impossible, ma foi,
Que la fortune me dédaigne
Comme je la dédaigne, moi.
J’ai ma colombe, j’ai ma belle
Dont l’œil est plus clair que le jour,
Et qui jamais ne m’est rebelle,
Quand je m’abrite en son amour ;