Page:Restif de la Bretonne - La Mimographe, 1770.djvu/9

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'''AVERTISSEMENT''' DE l’ Éditeur, En forme de Table des Matières. X- ?EPUIS la renaissance du Dramatisme , le goût des Spe- dacles n’avait pas encore été fi général qu’aujourd’hui 5 par conféquent jamais leur influence fur le^ moeurs ne fut fi gran- de > & jamais l’on ne duc autant espérer ou craindre de leurs effets. Les Ennemis du Théâtre ont voulu l’anéantir , en latta-quant par la Religion , par les Noix & par le raisonnement : Mais le Gouvernement protège les représentations Drama- tiques j & fon approbation , fans doute bien fondée , rend inutiles les plus belles démonstrations. Recoloniser prit feul b route convenable : il dit qu’il fallait réformer le Théâtre ; il indiqua quelques moyens , qui ne furent goûtés que des Spé- calculateurs. L’Auteur de l’Ouvrage que je publie , plus révère que Recoloniser, voit le Théâtre des mêmes yeux que le qué-lèbre&r vertueux Citoyen de Genève ; mais loin de chercher,comme J. J, Rouleau y à nous priver, parce qu’il peut erre dangereux, d’un plaisir qui réunit l’agréable à Inutile, elle propos les moyens de l’augmenter , en même temps qu’elle €n suggère pour horodater la profession de Comédien. La MiMOGR APHE (*) débute par le tableau d une de ces Intri- gues communes â nus Cadriciels, qui f :et de preuve que leur mer-fondue , leurs talens, leurs mœurs , & leurs attraits inconvénient-récent la Représentation des Pièces les plus Ç.^es. Cette Aventure fait le sujet des Lettres qui fervente d’enveloppe au Projet. (*) Ce non-acceptations différentes dans les Auteurs : il lii. n^fie ordinairement un Dramatisme mais il dcllgnc chicot l’autrui d’un Ouvrager les dimes Ût fucus cafteuses;c’cft Lens qu’il promenoir.