Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/253

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518. 23 jun. Auteurs à demi ; 26, fin Auteurs et de la Supersticion ; 27, je lis la Pauvreté ; 28, fin Pauvreté. Domesticité[1] ; 29, je lis la Filosofie des épous.

519. 29bis jun. Je suis alité à cause de mon (sic) hernie ; 30, je lis les 2 premières nouvelles du xxviie volume des Contemporaines.

520. 1 Julii. Alité ; je fais les 2-9 Veuves ajoutées ; 2. 10-11-12-13-14 Veuves (alité) ; 3, fin des Veuves, je commence la Graveuze (je sors et vais sur mon Ile).

521. 4 Jul. Fin de la Graveuze ; je lis la Fille de Porteur d’eau ; je sors, je vois Chardon, Courtois[2] ; fin des figures de la Paysane et des Contemporaines ; 5, Epouse d’infirme ; renvoi de l’Ivrogne ; Fille de porteur d’eau ; 6, je lis l’Oublieuse et la Famme de chambre (les figures de la Paysane à l’imprimeur) ; 7, Poissarde, Guinguettière, etc. Je donne à M. de Toustain Paysan-Paysane réunis et les Contemporaines. 8, 1 Jolies-crieuses et 11 à moitié ; 9, 11 Jolies-crieuses ; affaires, pour avoir de mes figures ; 10, Saladière et les chansons ajoutées ; 11, presque rien ; colère chez la Quicemette. Chose étonnante : j’ai rêvé que j’aimais, jeune encore, ma chère maîtresse d’apprentissage, Collette Parangon[3] ! 12, Lu Milran, critique de l’Al-

  1. V. la note 1 de la page 114.
  2. V. la note 1 de la page 117.
  3. Femme de l’imprimeur d’Auxerre chez lequel Restif était entré comme apprenti, en quittant son frère, l’abbé Thomas. Il lui avait donné le nom d’un caractère d’imprimerie, le Parangon. Son vrai nom était, paraît-il, madame Fournier. V. un passage analogue dans les Nuits de Paris, p. 1683 : « On trouve écrit dans mes Dates, ces mots : 18 8b 1773. Somnium quo vidi carissimam heram Colettam,