Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/340

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M. Ménager. Dîné chés le docteur[1] avec M. Morel ; revenu chés Mlle  Mesnager, d’où chés moi, lire M drame. Le soir, resté chés Mlle  Ménager jusqu’à onze heures.

729. 19 maii. Matin, changé le ritme de ma dernière romance du drame, et je l’ai corrigé à l’imprimerie. Dîné chés Guillot. Vu Barte, qui m’a lu une lettre de La Reynière, et parlé du vil Augé, ivre, qui débitait des infamies. Non trouvé, à 6 heures, Mlle  Ménager. Conféré F i volume Parisiennes. Commencé G en 1re . Douleur de Mesnager.

730. 20 maii. Matin, épreuves M xxi et N drame ; non venu Mercier. Entretien délicieux avec Mlle  Mesnager, de 5 heures à 6. Échangé des Contemporaines et quatre Oribeau. Annoncé Oribeau dans le Mercure, par le rapport du petit conte du marchand de laines, rapporté au long. Le soir, Mlle  Mesnager, à 9 heures. Rencontré Augé, en revenant avec mes deux filles. Été chés le parfumeur Colombier, où Marianne a soupé en asperges.

731. 21 maii. Matin, mal dormi ; lu G i volume Parisiennes ; été chés la Veuve Duchesne, porté treize Infidelle et trois 19-30 Contemporaines ; chés Mlle  Ménager ; dîné avec nous ; été au Jardin du Roi ; puis retourné chés elle, où soirée délicieuse, jusqu’à 10 heures et demie, mammillonam sugendo.

732. 22 maii. Matin, sorti pour avoir trois 1 à 16 pour Mérigot ; remis 10 Infidelle à Regnault. A l’imprimerie, composé les ajoutés de G i volume Parisiennes. Lettre de Mercier,

  1. Le docteur Guillebert de Préval.