Fanchette, et l’ouvrage d’un de ses amis, intitulé la Femme infidelle. » 32, 33, 34.
885. 1 9bris Matin, u, 36, Fautes sont personnelles. Vu Lise et madame Laruelle à côté de mon lit ; 2 de P ii volume Parisiennes. 1re K iv Volume Françaises ; été chés Granger en vain ; Bralle en vain : 1 9% inscrit à Talée à côté Tulout. Tour entier de l’Ile. 2d anniversaire formosæ carnificis.
886. 2 9b. Sorti pour l’abbé Roi, qui m’avait averti la veille : bêtise, c’était un sermon ! Chez Granger en vain ; trouvé Desessarts, parlé de mon Drame ; je lui montrerai. Parlé à Visse, libraire, de mon Épiménide. Trouvé le sujet du Mariage au hasard ; vu passer Marianne, charmante ; fait entrer chés madame Belin. Lettre très-belle de la Reynière[1]. 37 Fautes sont personnelles ; 2 pages i volume, 4 pages iii volume ; 17, réponse à La Reynière.
887. 3 9b. Lettre à Nougaret : « Comme il est beaucoup plus dangereux d’être votre ami que votre ennemi, j’ai résolu de ne plus vous voir ; en voici la raison : vous venez de publier une brochure ; j’ai engagé mon libraire à la prendre, à la faire imprimer et à vous en donner un prix convenable. Précédemment,
- ↑ Dans cette lettre, en date du 27 octobre 1786, la Reynière lui écrit, de l’abbaye de Domèvre, pour protester contre certains passages de la Femme infidèle : il n’a jamais pris le parti d’Agnès Lebègue, mais seulement cherché à la rapprocher de son mari ; il ne l’aurait point fait s’il avait été plus au courant de sa conduite. Il ajoute : « Souvenés-vous aussi de moi en faisant le tour de l’île : hélas ! combien j’y ai passé, d’heureus momens ! » (Contemporaines, 2e édition.) V. le § 1039 et notre introduction.