Pâris, imposé. Chés Couturier, lu l’ajouté Vie de mon Père. Le soir, C des Nuits.
1035. 12 ap. Matin, finit des Nuits. i page du Coucher. Rêvé délicieusement madame Fournier d’Auxerre, autrement madame Parangon. A l’imprimerie, imposé ; arrangé mes tables pour les Contemporaines, à lire dans les Parisiennes. Corrigé la 2de 1 feuille des Nuits.
1036. Matin, 13 ap. Fini le règlement ou code du Coucher. A l’imprimerie, i page et demie de l’Hypocrisie démasquée[1]. Dîné chés Préval : le soir 2de L xxiii volume.
1037. 14 ap. Matin, 2 pages du Coucher, etc. A l’imprimerie, 2 pages de l’Hypocrisie démasquée. Le soir, fait parafer la 1re feuille de mes Nuits et P iv volume Parisiennes.
1038. 15 ap. Matin, 37-42 Coucher. Dîné chés Bralle en grande compagnie, et souper. Revenu à minuit : une dame, qui m’intéressait. Corrigé le mot du marquis, à mon Drame.
1039. 16 ap. 42-45 Coucher ; à l’imprimerie, corrigé 1re C Nuits, 2de O iv volume. Soir, inscrit La Reynière sur l’Ile[2].
1040. 17 ap. Matin, 2 pages avant la Muette ;
- ↑ Pièce de vers d’Agnès Lebègue, insérée en partie dans
la Femme infidèle, t. I, p. 274, en partie dans les Contemporaines,
t. XXIII, 2 e éd. Voici le début de cette pièce :
Toi qui ne connais point le doux nom d’amitié,
Et qui, des maux d’autrui, ne prends pas de pitié,
Toi de l’humanité le fléau, le supplice,
Toi qui feins la vertu, canonises le vice,
Hypocrite maudit, esprit faux, cœur pervers,
Toi qui souilles l’espace, avilis l’univers,
Écoutes et frémis : je vais lever la toile, etc. - ↑ Voir la note de la page 258.