316 Mes Inscripcîons.
à l’imprimerie sur la conclusion de la Muette. Le soir, aux Italiens, le Garson-fille[1].
1164. 19 aug. Matin, lu la pièce de madame de Beauharnais ; lu la de la Fille unique[2]. Le soir, trompé : vu une femme que je croyais toute autre, rue des Augustins[3]. Hier soir, conté à Marion de Zéfire, etc.[4].
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- ↑ 1. La fille-garçon, comédie en deux actes, en prose, musique de Saint-Georges.
- ↑ 2. Les cendres de fille unique, p. 1681 des Nuits de Paris. Les nouvelles citées ci-dessus se trouvent dans les Nuits.
- ↑ 3. Rue des Grands-Augustins, même parcours qu’aujourd’hui.
- ↑ 4. Ici s’arrêtent Mes Inscripcions, dont le dernier feuillet est coté 1027. (V. l’introduction.)
- ↑ 5. Ce feuillet porte le numéro 1 202 et doit faire partie du Grand état de mes affaires (V. le § 548) ; il n’est plus, en effet, question, ici, d’Inscriptions.