Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/191

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

cul aussi étroit qu’elle avait le con large. Le vit énorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin, la décharge l’abreuva, et elle fut soulagée.

Les trois vieillards en avaient autant qu’il leur en fallait. Guaé vint les faire retirer, de sorte qu’ils ne se rencontrassent pas… On étuva les trois cons et les trois culs. On fit les lits. On changea les draps, recoucha la triple mariée, et Guaé introduisit les trois nouveaux acteurs.

Il alla chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras et sur le ventre de ma sœur. Un peu aguerrie, elle caresse tendrement le monstre, qui l’enconna, le vit introduit par Guaé, qui profita de l’occasion pour patiner ma sœur et la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite, que son fouteur s’écria, croyant parler à moi : « Ah ! que tu es putain !… » Voyant Guaé acharné sur ma sœur, j’introduisais les deux autres. Je donnai Perceawant à la religieuse, et j’eus soin qu’il eût son bourrelet. « Voilà une main bien douce qui me touche », dit-il, en voulant saisir la mienne, mais j’échappai. « Remue du cul, bougresse, disait-il à sa monture ; je te tiens, je suis dans ton con ; ainsi tu ne saurais m’échapper. Je ne suis pas ton mari ; j’ai payé pour coucher avec toi, et te dépuceler, ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du cul ; j’ai payé pour ça… » Guaé l’entendit. Il vint à lui, le saisit à l’étouffer. « Tu manques à nos conventions ! lui dit-il. Je ne les tiendrai pas non plus ; fous-moi le camp, malhonnête homme ! — Oui, mais quand je l’aurai enculée. » Et il encula la carmélite, malgré les coups de poing