Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/224

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copieuses décharges, parce que les belles de relais lui manipulaient impitoyablement les couilles. Les excessives douleurs de l’enculage n’en effrayèrent aucune ; au contraire, les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles la pinçaient pour la forcer à s’agiter, et à faciliter ainsi l’intromission du gros vit dans son cul.

Vitnègre n’en pouvait plus. Ce fut précisément ce qui excita Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu’il déchargeât une seizième fois, et que ce fût dans son cul, à elle ! Traitdamour se vit obligé de céder. On manipula Vitnègre, on lui chatouilla les couilles, on l’assura qu’il allait enculer Mlle Linguet, sa femme. A ce nom, il érectionna. On lui fit sucer les tétons de Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt on coucha l’enculande sur le ventre, on lui beurra la rosette, puis le rectum avec une grosse canule. Tendrelys prit délicatement le gros vit avec ses doigts de rose, pour le diriger dans l’anus, tandis que Minonne et Connette écartaient chacune une fesse. Rosemauve, prête à manipuler les couilles, frayait avec son doigt beurré l’entrée du vit monstre dans le cul de la patiente… Enfin, il pénétra, en déchirant… Mme Vitnègre poussait