Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/89

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Je fus là plus d’une heure, lui suçotant ses boutons de rose, lui dardotant et lui faisant dardoter la langue, la faisant déchargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me résoudre à déconner… Tout à coup, ma fille, que je croyais épuisée, se met à trémousser du cul, à convulsionner du con, comme faisait autrefois sa mère, mais mieux que celle-ci… Je rebandai roide, mais loin de la décharge ! De sorte que je la limai tant qu’elle voulut… Elle me disait : « Papa, je ne parlerai pas d’un Vitnègre, qui n’a de plaisir sur une femme qu’autant qu’il brutalise sa monture, mais vous foutez plus tendrement, plus délicieusement, que Timori ne caresse. Vous limez mon con comme un dieu !… A votre intention cette décharge-ci !… Papa ! papa, fourgonne ! Tu es dans le con de ta fille ! Remue du cul, papa ! Tu me fous… Tu me fous… Tu m’enco… onnes ! Fous, bougre ! Fous ta fille ! Incestue, jean-foutre !… Enfonce, enfon …once… dans le con…on de ta fi…ille… pâ…âmée !… » Et elle resta comme morte, pendant une longue décharge.

Je la relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière fois de cette nuit-là. Elle se ranima : « Fous, maquereau ! Je suis ta putain, ta raccrocheuse… ta sacrée salope… ta passionnée fouteuse… ta tendre fille… Engrosse-moi ! (remuant du cul avec fureur). Mets-moi dans le con un garçon… une garce ! Si une fille, tu la… dépucelleras un jour… si un fils, il me foutra !… — Adorable fureur ! m’écriai-je… Tiens, fille adorée, voilà du foutre ! » J’