gentilshommes d’entre vous enui-
ron le temps des maſſſſacres de Paris
pour auoir l’auis du deffffunctct Sei-
gneur Amiral, l’vn des parens de la
France, & vous y conduire ſelon
ſon conſeil.
En ce qu’ayant ſceu les nouuel-
les des ces horribles maſſſſacres, eſ-
quels l’Amiral deuant l’arriuee de
vos gentils hõmes fut tué, vous deſ-
pouillaſtſtes tout auſſſſi toſtſt l’opinion
bonne que vous auiez de la maiſon
de Valoys, pour en veſtſtir vne tres
veritable, la recognoiſſſſans pour la
plus traiſtſtreſſſſe, & deſlſloyale mai-
ſon de la terre.
En ce que vous euſſſſiez lors vo-
lontiers en deteſtſtation d’vn tel cri-
me, eſlſleu pluſtſtoſtſt vn muletier, ou
quelque autre bon toucheur d’aſ-
nes, que pas vn de tous ces Bou-
chiers, n’euſtſt eſtſté qu’il vous eſtſtoit
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