En écortant soutbler nos rapiots balaines,
en voyant nos geux clairs comme lieux des fontains,
Il nous jeta des fleurs pour lâter notre assore ;
et nous aloser crier ! d’ous reviencor encor.
Fsus loin sa mélancolie dtevenant plus grande au sorwenos de ces lieuxe ames dont elle est siParie
le vendre abattement nous saisit-il, mon frère
Le soir, quond vous passez j res du seuil et mdn pero.
az vous nous mon pere aisser, calme et riveur.
ites-vous à quelquin : Elle était lé ma sœeur.
Eh bren ; recontez-moi ce quon fait dans nos plaines.
Peignez-moi nos j. laisirs, nos jeuse surtout vos je nes.
Dans l’ilise isolée où tu mas dtit aclieu
Mon frère donne encor à la vengle qui prie ;
Disque c’est pour la sœur, ch, pour la sœeur chérie
Dis qui sa sœeur es triste et qu’il en parl à Dieu
Et le vieux prisonnier de la haute tourille
Respère-t-il encar à Franers les barreause
Partag. t.il encor avec sa Portérelle
Son pam qu’avaient dtéjà jartagé ses bourreceux.
Un Douaisien, M. Romain Duthilleul lui ayant fait parvenir un bouquet de fleurs écloses