longue gaine et bais. Dans cette pièce, la vipérable areute va il vient, faisant le minage et veilleint sur le pot. au feu. Cette jeunn femme, assise à son ronet, c’est la mère de Marceline, véritable. ment belle, avec une magnifique chevelure blonde ; elle passe ses jours et et longues soiens à filir le lin. Les soyeux échevéaux qu’elle a préparés chae main dilicate sont renommus dans les llanèbres parmi les tisseurs de batiste. Dans un coin, on aperçois les premières marches en grès et ini eicahir qui mène à une cave habitée, laguelle par un autre escalier doue sur la rue e ménage installé dans ce s.jour souterrai se compose dai mari, ancun Vambour de régi¬ ment, présentement restaurateur de vieilles chans sares une des fortes têtes du quartier et d’une femme marchande de verstures, qui a son etat sur les premières marches ; lette cane, ceu double escalier établit avec le déhors une cdter humeation amcillieure dont profivent, à cer Pamis jours les gens de la maison (les enfants Surdous), lors qu’ils ont intérêt à sortir, ou ce entrer à la souretine
Etadessus de la première piece qui je dicriveu sont-ài l’heure et qui est un peu basse de