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Page:Revilliod - Madame Desbordes-Valmore.pdf/38

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Madame Desbordes Valmore avait un frère, ancien soldat d l’empire, qui vivait à Donai, vienne sufirme et dans le dénument. Si ginie qu’elle faitM-même, elle singemait à Pronner quelqu argent qu’elle put envoyer à son frère di lise, et des secours fraternels, elle les accompagnent toujours de bonnes paroles propres à relever et à réconforter le pauvre vétéran :

« 14 janvier 1823. Hélas ! Mon bon Félix, quand nous nen pouvons plus du fardeau de nos pernes n’oublions pas que la bout. de Dieu ne nous a pas tout à fait abandonnes et quen fin nous sommes ses enfants. Quelque chose de grand est caché sous nos souffrances Allons ! plus nom aurons payé davance, plus il nous et élommagera d l’avoir aimé I cher che au milieu de nos épreuves ; j’ai des pdments où, je croule ; mais je me sens toujours soute nue par cette main divine jui nous a jeui frère et sœur pour nous aister àt nous chirer mon bon Filise. Ser sens quel bonheur, Prom à remplir ma nussion, et je de remercie d avoir également remp l. la tienne ; en maimant fide lement Vu mas bien souvent consolée des amilies ligères et ouhlieuses et ce mondle. La notre s et. Tous les mondes