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Page:Revilliod - Madame Desbordes-Valmore.pdf/45

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lépendant Madam Desbardes Valniore devait voir suire palguir bieune jours au milieu et dant e premies. Buchuu fablond. Ondien dever une jeuue fille, limage et sa mère est demrandée en mariag par Monsieur Langlais[1] (Napereau, onctionneure des contemporain, trancme édition p 1034) ancien a présentant memlae du conseil détat homme comm dans le barreau et dtans la presse, propritaire an Mans. Elle passait, à côté de sa chère Oncline, une sonson heureuse à Saint-Demis-d’Anjou dans les firo déritis et son genebre, elle écrivait à son fils :

DTolore 1852. Hier avc Langlais, nous avons feut le tour de la ville ; (je crois quils onsent la ville). Toutes nos visites sont rénctuer. J’ai vu dans ces maisons bizarres des petites dames lrijolies et de très fuause enfants des frunts par saniers, des fleurs toujours. Oui, Dieu est partout. varge sil est dans ce silence profond dles saises politiques et littéraires. On n’entend parler que étebles mirs, de vendances et de poules qui sondent sans sarriter. Sans doute ce n’est pas léspagne dont tu menvoies le charmant échos dans cette vraie cotombie dont la trachas

  1. Au mois de septembre 1865, Monsieur Langlais acceptait à la sollicitation de l’empereur Napoléon III le poste de ministre des finances de l’empereur Maximilien. Il mourut à Mexico peu de mois après son arrivée.