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J.-J. GOURD. – LES TROIS DIALECTIQUES. 139

que l’intensité d’un état affectif se senl, mais ne se mesure pas. Il en est de même, d’ailleurs, de l’intensité .de la réaction volontaire. On ,sait aussi que rien n’est plus variable que riptensité.d.e ce, y t 0 q e n p e. q

c qu’on appelle un même plaisir ou une même douleur. Il est donc heureux que nous n’ayons à nous occuper que de leur puissance sériaire. Cependant quelque difficulté subsiste à l’égard de la douleur.’ Celle-ci devra disparaître dans la mesure où elle sera sériée ;, mais, lorsqu’elle ne le sera pas,, ne devra-t-on pas tenir compte de son intensité immédiate, avant de l’accueillir ? – Allons plus loi». Si la la ; puissance sériaire se prête mieux à l’évaluation que l’intensilé. ~P immédiate, il s’en -faut de beaucoup qu’elle s’y prête sans résis- t tance. Comment savoir avec exactitude quels sont les plaisirs et les-’ ’J~~ • ; :d<)ulèUR3 ;,qui :r^^ t’xci,’1 lës .plus âmplës sériés vK Gomm’e^ Tes- esprits toutes .lés èü’com

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̃̃ cjier ;d’â’Jvpjd 4es//cbnâiti£^ géiiëral, püis Ies conditions~&

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~père .pas, merne p ce~ r~ioy ~eni :~Trivp ~,cl,, sdétermina i~ons .li`ue- > < ’cis.es jet constantes ;; ~h0 jçirçonstances jïônt si- cpmpïèxê,s,-ië *Biilieu ;^| : "/̃̃ ̃• ..r’î ~ :£ -I ; les tem’péraiiiénls, : les fre-urés, ; tes ; idées reçues exercent un e :iniluence^_» ;v ;’C :-ï ;V. ’Xj ’̃̃ 3ji’.si ; ;Vàri6^ble :>qu’on ; ;pe} sera .jamais certain vd’ob’Jîènir^dpHrésultat ; ^ :V. ;*v ; .sv ;

  • j ?: ç :; ïcheréb^ï ^qus.p,oûrré^Hpi^purs- s craindre qû.’un’ él’ément :riégligé ne ~p-ïî

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