Rev. MÉTA.,iT..iV. – 1897., ̃, ̃ ̃̃̃’̃ !,i ~M~ E ~V ~fJ E
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̃ C :̃ ; :L E S ̃̃ TE OIS I I» I A : ÉGîT IûtlE S ;• y :-Vv. ~. ? ,–r. Introduction.
faut bien l’avouer, ce qu’on appelle ordinairement la Science,
la Morale, ou même la Religion, – ce’ que, nous appellerons ici la r Dialectique théorique, la Dialectique pratique, la Dialectique religieuse – est une œuvre d’habileté et de ruse, plus que de force et de génie. C’est la puissance des impuissants. Voyez, par exemple, la i dialectique théorique. En quoi consiste-t-elle ? Tout simplement en i une mise en ordre. Et pourquoi cette mise en ordre ? Parce que c’est un moyen de suppléer à la faiblesse de notre connaissance’ directe et primitive. étions capables de saisir d’emblée avec force la réalité, nous n’aurions certainement pas besoin de la soumettre à une coordination scientifique. La dialectique théorique serait pour le moins superflue. Malheureusement nous sommes bien loin de cet idéal. Quelques .grandes personnalités, y ont sans doute participé en une large mesure de là ces hypothèses fécondes,, ces inspirations ~1 grandioses, ces originales impulsions qui marquent dans l’histoire de la pensée. Et nous-mêmes, aussi obscurs que nous soyons, nous en avons bien eu, une fois au moins, comme une vague possession. Cependant la connaissance « avant la science » n’est point pour la. vie ordinaire de l’homme. . :Elle nous est trop étroitement mesurée Rev. Miîta. T.V 1S97.. :̃ <. ’V-