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Page:Revue de métaphysique et de morale, année 16, numéro 6, 1908.djvu/117

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loppée à l’étranger. Nous mentionnons, pour chaque terme, les équivalents allemands, anglais et italiens ; nous citons souvent, comme je le disais plus haut, des textes de ces langues. Nous remercions très vivement ici les philosophes étrangers qui veulent bien relire nos épreuves, et qui nous ont souvent envoyé des contributions de haute valeur ; mais nous désirerions augmenter leur nombre ; et en particulier celui de nos correspondants de langue anglaise. Je profite donc de l’occasion du Congrès pour faire connaître ce desideratum, spécialement à ceux de nos confrères qui enseignent la philosophie : nous nous ferons un plaisir, s’ils veulent bien nous le demander, de leur envoyer nos cahiers d’épreuves, tout préparés pour les annotations ; et même en dehors des Universités, il va de soi que nous les adresserons très volontiers à tous ceux dont les publications antérieures garantissent une réelle compétence en cette matière. Il est d’ailleurs entendu qu’en nous informant de leur intention, ils ne prennent par là aucun engagement, et qu’ils restent tout à fait libres, après avoir reçu nos cahiers d’épreuves, de n’en lire que les articles auxquels ils s’intéresseront spécialement. De notre côté, nous ne nous engageons pas non plus à publier toutes les communications que nous pourrons recevoir, mais seulement celles que le plan de notre travail nous permettra d’utiliser. Jusqu’à présent d’ailleurs nous avons entendu cette règle dans le sens le plus large, et toutes les fois que l’application en a pu soulever un doute de quelque importance, la question a été débattue en séance publique de la Société de philosophie : les dix fascicules actuellement publiés permettent de le constater facilement, et font assez connaitre la nature et les caractères de notre travail.