Page:Revue de métaphysique et de morale, supplément 2, 1909.djvu/14

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du nom de « psychologistique » ; et il veut restituer ses droits a un nouveau vitalisme. L’idée d’élément psychique lui paraît un concept bâtard. Il y a, d’une part, des propriétés vitales : la sensation, le sentiment, l’image, dont le cours est ininterrompu ; et, d’autre part, des actes spirituels,










tutU. f.ji opt poiircaractêristiques d’être U non intuitifs, intermittents, mesurables. r> • La mesure des nlsatiù’ib spintuf, iies h est la ttuche.-ental’le de la psjcholotfi’rc ecii » ntiii>, ue •̃• iT2, >. Mais comme u M. Palagyi avoue que nous ne pouvons t< prendre connaissance de ces propriétés tr rii’jlei que par la coii-cirnce imn.iL--liu.tc ;. d peu importe qu’on les appelle ainsi ou d

; « >, v « f.)/ti/ « ioî » ?  ! 7" coni : nf ù est plus 1 « 

usuel. D’autre p(.rf. il admet comme u :  : i’<• TtM’îîî indiscutable la théorie d’Apdth ; », r suivant lafiuuSI’’les npuro-libnll’. ? forme— J i-att’iii un »..slc3’e îenue. 1 1 il y attache f< mtf grande importance pour ses propres é vues.On peuts’etonnerqu’Une.discatepas A les recherches plus i-écr-nles fai.ts l’aide’d de la nouvelle met !.ode de Ranion y’i— V j » l, et qui vérifient hi ; l— fois de plus la t théorie des neurones. Bref il nous « cm Me 1 qiif M. Halapyi reèt ses observations, s parli’lle’iiciit vraies et bonnes à’lire. p d’u-e forme qui est d’autant pins contes— {. lof-If qu’filP vt ut i Ire j-.Su-î originale. s Dur Wissensbegriff, par Ji-i ids r>v— i ̃.n-, v vol. in-S carré de J.1 p., Heulelber ? , C’irl Winter, I9US. – Ce putit livre 1 tstlii première publica’ion n’uiie nouvelle < Collection itititulit s ~~·a3tlaesia et qui doit cnmnrendre des monographies tu^tn— i riqiies de concepts philosophiques. La ] presc-ntt. monographie est U la fois historistut : et critique. Kllc fait défiler sous nos yeux, rapidement, les r rincip-ile^ 1 cotici-plions du savoir, chez les Grec « , les i Orientaux, les Arabes, les, Scolastiques, les modernes et les conte-inpordin- : —le" telle sorte que le lecteur, pris ili— frlib’.j. s’il n’est pas ft<"ja initié, ne croira pouvoir trouser un ferme point d’appui que dans les ouvrages de l’auteur, qui Ini sont uiïques pp. v et 2-î.

Die hiolngische Théorie der Lust und Unlust. par D. Di vltiiil’js C. Nadejpi [̃rofriî-cr der Philosophie in BnU.>rest. Heft 1 ; I fascicule iu-S de vi- ! Js p. Leipzig. Uncelinann, i ? "S. – Ce travail est le. remaniement d’uiip thèse de doctorat Tnitenu-1 itérant la Faculté de Munich ; l’auteur ne nous en donne aujourd’hui que la, première partie. L’ouvrage est dédié au professeur Th. Lipp « , dont le nom est cité presque à, chaque page et doiir ifis vues inspirent à tout moment le D* Madedje. Il est juste ocpeiidznl de siç’iuilt’r que e l’autour ne ? c borne p3s> j &


suivre un seul ui-iln ?, qu’eu i.di-tidil’tr il t-e’Tîlile très bien eonn.ûlre les p^yeholo ^ni-s— fronçais, tîibol, Ueaimi ». Richet, :  : L~ G. Dumas,

Les premiers cliapmvp e-vi’Osent. trop lMiguuitieni. la théorie i ui l’atljchn le pLaibir a l’utile. la douleur au nuisible. Une. critique.v^e ? s-erroe fuit bientôt j.ppa— ~[ raitre le eal’IJ.ctèœ vague des concepts d’tttiiittr tt di— nooii*é. bien do— pgjcliolcgriieb. remarque l’auteur, sont teutes d’appeler utile tout ce qui procure du plaisir et de tourner ainsi dans un cer-’le. 11 faut il » n<’ trouver un critérium a>.n MitiJM-lif pour dis-liiignpr l’i.tile. et le nuUible « .4. sans ̃Icuis. on le Iromfait assez aiicmeii ! en le demandant la biulofe’îo et U nndft-Hif : mais l’auteur ue >t tarde pa— à le rechercher. U préfère emiinrir ruelhodiquemeut les laits asse ? nombreux qui font douter du U cijrrespmidanci— mr nie établie. entre w plaisir pi l’utile teh.ip. vu A l’objection des poisoi.s i^rtfiblfi. on a depuis longtemps répondu en (iklinL’iiant l’intérêt de l’organisme tout entier et l’intérêt spécial de l’orçane « In gcnt.isi"éniiLeroeni iinprea’ionne.MaisToilal théorie singiihertiiient réduite dans sa portée le plaisir ne va plus être <[ l’un guide ilanffrc-ix pour l’orfiinismu. puisqu’il ne renscirne que sur l’intérêt très ivn’tir-ulier d’un organe.

Assez brusquement, l’auteur ab » n derme la théorie qu’il rritiqu ut, aborde l’étude des ̃•entimontsqi "il oppose fortement aux sensations. Il semble rfnoricer a rendre eoiïsi’te des plaisirs et des douleurs dites morî’litf par la théorie biologique co irante t.t croire au contraire. qu> Ijplu’; i1ion uîUhli— iimir Ifs srntinienls ^audraau ! ="i pour les sensations. Le : point’; < : vue est complètement iieplvr’. Bientôt l’auteur aboutit a i’es formules comme. celle-ci 7. < Le plaisir est l’expression d’une satisfaction immédiate det tendances et des

tjP’-i-iin iV IV’iik, la douleur exprime le retard et l’incertitude de cette Sdti-îfactien " ip. fi3). • Le plaisir est le signe que le iiujiivemr-iit intérieur nature ! de la vie peycholoçîqu^ n’est pas uiitravi— ]itir lo ijrouvf. ment de la realno extérieure. ̃> Nous ne pouvnn » guère voir dans ces fermules qu’un effort pour lonoilitr let>.dt’t"-s de Heibart et celles des modernes tvnlutioniiiilf ? . lUi.isla conciliation reste : peutêtre un peu verbale.

Die Zentroepigenesc und die nervose Katur der Lebenserscheinung,

du— (fi’t’t DUe ip-ita uber aie J’.ii’m/’Uvnr, der Di-i/atiMiien. par KrocKib 1ïion.vso, Extrait de la Zëlsrhnfl fur tîcti Autinu der Ent’i ickhinijsMfe, une brochure in-’t de 2’J p. fctuttpart. l’jns. Cet nrlicht