théorèmes de l’Ethique et les théorèmes de la deuxième partie. L’expression de parallélisme est coup sûr une expression inexacte, et sur ce point il faut faut donner raison à M. A. Tumarkin. Mais, d’une part, la doctrine professée par Spinosa dans l’Ethique sur les rapports de la Pensée et de l’Étendue se relie à sa conception de Dieu, et à la façon même dont il démontre Dieu plus encore qu’à ses idées sur le vrai, sur la clarté et la distinction ; d’autre part, beaucoup d’interprètes du spinosisme ont cru, et à bon droit, que l’ « ordo et connexio… » recouvrait un triple sens : méthodologique, métaphysique, psychologique. Il est difficile de souscrire à la conclusion : « Tout est mort. » La pensée de M. A Tumarkin est trop rigide et manque trop de nuances.
Die Enlwmklung des Seelerïbegriffs bei téei
Spinoza als Gnmdlagefilr dos VersMnd— H
jiis seiner Lehre von Parallelismus der des
Mtribute. OTTO Baensch {p. 332-814). La mik
fin est dans le n° 4 (p, 456-496), – C’est 456.
avec le plus grand sérieux que sont de
étudiés ici les principaux textes, de Spi— a u.
nosa qui ont rapport à la question. En son
particulier, M..O. Baenseh explique très ten
nettement les idées exposées dans le Gour.t ̃ n’a
Traité sur l’àme, le corps et leurs rap— que
ports. : Cette étude consciencieuse conduit Jit
l’auteur à des remarques pénétrantes sur gxi :
ce qu’il’appelle, d.’un mot impropre, le ent
Parallélisme des attributs. M. 0. Baënsch 4’B
montre que la pensée s’étend beaucoup ©n
plus loin. que l’étendue. On découvrechez lut !
Spinosa, dit-il, deux parallélismes : très con
différents un parallélisme métaphysique de
et un parallélisme idéal.. Dans l’attribut tou
ipensée, il existe quelque chose de plus : q.uè coè
iians tout autre attribut. Lapensée est à la cèd
îalsêtre et connaissance. M. 0. Baenseh cite la 1
un passage d’une lettre de Tehirnaas à la" j 1
Spinosa (lettre 70) où la. question est net— sce
tement posée. Cet aspect du Spinosisme ave
avait plusieurs fois déjà été mis ea lu— du
ittière. i ! artïcle de M. Baenseh a le grand m :
mérite de montrercomment le problème loq
général s’éclaire lorsqu’on le relis à la mo
question particulière des rapports dé l’ot
l’âme » et du corps,.-̃̃-> ̃ y c’es
Leone Medif/os Lehre vom Weltall und pet
ihr VerhëHnis zu griechuchen. und zeligg— mo
nôssigenAnschauung.en.iEfiKBT Aepel(p. 287— 1— Sdè
403), La, fin_est dans le no 4 (p. : 4ô6-498). ̃ : gér r,
Grâce à une étude analytique très pré— éitu
cise des textes, M. Ernst Appel, débsr— y M. ;
mine, dans le détail, les influence subies ter
par Leone. Platon surtout a agi sur sa res
̃pensée} et, parmi les modernes, Ficin. phi
Voici la conclusion de l’article « Parfois Bei
̃les « ; Dialoghi di Amore de notre phi— scii
losophe surpassent van prôfondéflf des ; g ! |lll œuvres de Fiçinet de Pi© de lit Stiranâole, : : i-l||||| niais, cependant, on peu t •̃ constater : il’in ?.̃ Jailli floence de Eicin sur Leone à p ropos de S|||| toutes les questions philosophiqaesiflipoiv i : V— irlilStantes. » y : y ̃̃’̃y : y : ; |lil|
A niikêJjœhttheofien.XHmm Erich feLMS’̃̃̃" :, 3|||||||||| (pu. SiS-SSî) II est regrettaMeque M. I. Ë. ; y||||| Haas, après avoir indiqué quelles seraient : lii les principales sources pcrar : Uï) ; ëh.îs ; toî : re : de ; i|||| roptiqu e physique et physiologie u dans Ë|||. l’antiquité, se soit borné à étudier les ZmÏ ïlllll théories, philosophiques des anciens sur =111 les rapports existant entre l’objet ëxté— : iy||||| rieur et le sujet sentant. Cet article eon— fl 1111 tient d’ailleurs des endroits fort : inté— ; |||| : fessants. Voir surtout p. 353 sqq.y « ldie ; ; ̃ 11111 Théorie derSehstrali fea ».Voir aussi p., 372 llill un exposé très iiet des critiques adressées 1 j ; i ; ||| dans l’antiquité aux théories clém#cri— yj : j|ih|i| téenne et épicurienne de la vision. ̃̃ : ̃̃̃̃ "̃:llll Heft 4. U W^WJ^DU’Phihs^>Aié^£^^
des flealdit vonEphvsusimZmtmMenhaug’llll mik der Kultivr lonimi. Max Wùkdt (p. 431—; j:ïpil 456. —i— M. Max Wundt croit que la pensée ̃̃>T; |||| de Hegel, suivant laquelle la philosophie a uniqueinetit pour contenu le contenu de « llll son temps, et pour rôle d’amener ce con— : 1 : : i ; i|| tenu à la claire : conscience ; de ce qs’il est, : llill n’a jamais mieux trouvé sa justiflcajioiï L ; ; 11H <piejdans la dpctrlné’d’Héraclited’iEphèse. : llill lit il fait effort pour noas m0ntrer : ga ? i : 1 : IkInII sxîsteMne ; sorted<3 parallélisme jvigoureBX yyigjm entre les thèses, la conception générale 11U « l’Heraclite, et j’ètat de l’Ionie., d’Epbèse = : lll} en particulier, à l’époque où il vivait, : : La : ll : : l ; |j lutte se trouvait partout dans la réaïitéj "lllU comme elle se trouve au principe même : : 1 : 11|| de la philosophie héi’àditéennf.VSous : : rli : i toutes les formes, on pouvait voir les vistaill contraires se succéder l’esclavage sac— il 11111 céder à, la libertéoù la liberté à l’esclaya^, llll] la prospérité àm malheur ou le malheur à.t ; ; |u la’prospérité, M..Max Wùndt remarque à : ï| j
- ce : prapos que les Eléates sont, d’accord y-ï|
avec Heraclite pour affirmer l’instabilité : : i ; l : ll| du monde sensible. Il fait appel égale— IJi :
- ment.au témoignage d’Homère, d’Archi— llll
loque. QuTîéraeHte. ait, surtout comme : ; |1 moraliste, tiré le plus grand parti dé ;.>1U| l’observation de la réalité cçntenaporainà,’5 il c’est : ce qui ne parait guère âoutëuxi ! On s : llll peut même admettre que, les idè : e8 ; da ̃ ali moraliste aient çontrltiué a orienter les : ll|. iidèes du physiologue. Et, d’une façon : É : i| générale, il faut feconnaStre ; que, les J tall : études comnje : tcelle.qu’a entreprise ïi : M. : Max’Wundt offrent la plus grand in^ llill térêt ; il est tout paElicuJièrement, inté— yillB ressant de ne pas séparer les oiU^réç, y : 11 ; 1| philosophiques^ des penseurs gr^csl’de y ; 111| l’enseable ^des œuvres iWttéiraJ ris : : # ; 1 111 sciBntifiqjues iCpntém|>Œaiînes, : Mais —il n’est y il ;