grandes lettres leurs chefs-lieux respectifs, afin de distinguer les villes qui appartiennent à un comté, de celles qui dépendent d’un autre.
Enfin, la 21e colonne présente un tableau général de l’empire britannique, dans le but de donner au lecteur une idée complète de cette vaste et puissante monarchie[1].
Les six colonnes placées au-dessous du tableau contiennent la suite de cette esquisse statistique. Dans la division judiciaire du royaume, les noms de chaque arrondissement sont écrits en grands caractères. Ceux de ses villes d’assises, qui sont différens des noms de leur comté, sont disposés entre parenthèse. On a cru pouvoir omettre quelques exceptions peu importantes concernant les villes d’assises ; mais les cités (cities), les villes (towns) et les bourgs (boroughs), qui ont une juridiction particulière ; comme Lincoln-City, Nottingham-Town, Leiceister-Borough, etc., ont été indiqués, en écrivant ces qualifications en italiques. L’article suivant offre la division ecclésiastique On a renfermé dans des parenthèses les comtés et le nombre de paroisses qui forment l’arrondissement de chaque diocèse.
Les autres articles de cette partie du tableau sont : l’instruction publique, les stations militaires, la navigation intérieure et les principaux canaux, les mines principales, les eaux minérales, les bains de mer et les courses de chevaux les plus remarquables, les marchés les plus considérables et les villes les plus importantes pour les fabriques et les manufactures.
La seconde partie offre le parallèle entre l’empire britannique et le reste du monde. Cette section du tableau est subdivisée en 9 colonnes verticales destinées à offrir, comme l’indiquent leurs titres pour chaque État, le nom, l’étendue en milles carrés, la population absolue au commencement de
- ↑ L’île de Sainte-Hélène, si importante par sa position, quoiqu’appartenant à l’Afrique, dépend, par ses rapports administratifs de la compagnie des Indes orientales.