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« Bien des grâces à Mlle Sylvie, que je crois bien avoir embrassée l’autre fois ; amitiés à tous, à M. Ruchet, Urbain, Durand, Ducloux, etc. J’écris un mot à Lèbre.

« Adieu, cher Olivier, bon courage dans votre pénible et studieux hiver, et à vous, Madame et amie, bon courage aussi dans votre hiver mondain, auquel vous prendrez peut-être plus de goût que je ne voudrais vraiment. Je baise les enfans et remercie Mlle Lucie, à qui je souhaite tout bonheur sous ce toit du ciel.

« SAINTE-BEUVE. »


« Votre souvenir exprimé par vous-même m’a été bien doux, cher monsieur Lèbre ; j’y comptais, mais offert ainsi, il a un parfum pour moi qui n’appartient qu’aux fleurs de vos coteaux