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Ce roman est un des livres ATaiment considérables où il a été parlé de la guerre. Non seulement il constitue une suite de fresques émouvantes et débordantes do vérité, mais il contient des enseignements de morale sociale (jui sont d’une liante portée.

Rei’nc de Paris.

Une intrigue se mêle à de nombreux lalileaux de guerre, iliguel et son aiiiu l’égoïste TréWcre, sont amoureux d’une jeune lille, Marcelle de Roniccoi !! !, dont l’âme est trop fragile pour affronter la lutte et se garder au plus dign-i’. Miguel, déçu, mai’che vers’ la mort, — suii par une brave petite paysanne lorraine, qui, elle, sait aimer jusqu’au suprême sacrifice. La Lihcrlv.

Voilà qui rafraîcliit l’intelligence, ranime le cœur, nous apporte cette impression joyeuse que nous avions pour monter aux parallèles de départ. Binet-Valmkh, Coniœdid.

Ce livre ne ressemble pas aux autres, il est, tout compte fait, l’un des livres les plus remarquables que la guerre nous ait donnés. Pclile Gironde.

M. .Jean de Granvilliers n’a jamais eu la clumce d’assister à aucune de ces scènes édifiantes que décrit M. René Bazin, il ne conteste aucun témoignage, il donne simplement le sien qui est dilïéi’ent. Al)el Hekaiant,, Le Figure.

Les pages que M. .Jean de Granvilliers a consacrées à la retraite de Morliange sont parmi les plus poignantes que je sache ; elles sulllsent à clasver un écrivain et assignent à son livre une place éminente et clioisie dans notre) bibliothèque de guerre.

Écho de Paris.

La conclusion de ce livre, c’est que dans la guerre, et là seulement, l’homme donne toute sa mesure ; c’est que la guerre est l’épieuve qui révèle l’homme à lui-même ou plutôt tjui fait sm’gir en l’honune un honnne nouveau. .Vndré Le Breton, Opinion.

< ;’est un livre sérieux, bien qu’il soit écrit et composé avec beaucoup d’art et comporte des pages exquises de légèreté ou de grôce, d’émotion ou de mouvement.

Journal , du Pcujde.

Le Pri.v de VHonune mérite une place à part, la première parmi les romans parus depuis la guerre et sur la guerre. Les femmes de France <iui furent si admirables pendant ces cinq années douloureuses, ne liront pas sans émotion l’histoire de Clotilde Husson qui symbolise leur esprit d’abnégation et de patriotisme.

.I.-B. PiOBETTA, Le Phare de la Loire.

L’elTet que produit sur le lecteur le Prix de l’Homme est indéniable. On songe parfois — si licei parva — en parcourant ces pages éparses, à Guerre et Pai.r. l’ernand Vandérem.

Ce livre est le plus beau livre de la guerre. Petite République.

Il a été tiré de cet ouvrage

CINQUANTE EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE HOLLANDE tous numérotés.

Imp. L. l’Ui^liV, ôa, RUE i>u CiiAitAU, l’.vRis. — g34-ig.