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Page:Revue pédagogique, premier semestre, 1885.djvu/442

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sophes au milieu desquels il vit, l’université, tout lui paraît (et cependant il était arrivé à l’âge mûr) un modèle d’amabilité et de concorde[1]. Il est bon de passer quelques moments avec lui, de feuilleter encore ses modestes ouvrages. On regrettera peut-être que nos deux opuscules imprimés aux frais de Haller n’aient pas passé, à cause de leur rareté, à la réserve de la Bibliothèque nationale. Mais il est bien à sa place au Musée pédagogique, ce petit monument d’une réforme modérée dans l’histoire de nos études ; de la méthode d’un maître à la fois habile et aimant ; et enfin de l’influence française en matière d’enseignement, par delà l’Allemagne, dans une université généralement mal connue de l’Europe Orientale.




À PROPOS DU CONGRÈS DU HAVRE


Nous recevons la communication suivante :

Le Comité d’organisation du Congrès international d’instituteurs du Havre a reconnu qu’une lacune regrettable existait dans l’article premier du règlement. Il s’est empressé de la combler et a modifié comme suit cet article :

« Sont invités à prendre part aux travaux du Congrès, sur la présentation de leur carte d’admission, toutes les personnes faisant partie du corps de l’enseignement primaire : instituteurs et institutrices titulaires ou adjointes, publics ou privés ; directrices et sous-directrices des écoles maternelles ; directeurs, directrices et personnel enseignant des écoles normales ; inspecteurs primaires, inspecteurs d’académie et inspecteurs généraux ».

Le maire du Havre,
Président du Comité d’organisation du Congrès,

Jules Siegfried.



  1. Voir la préface du Dialogue, et dans l’édition de 1504, une dédicace à un dignitaire de l’université, que je ne puis désigner avec plus de précision, n’ayant pas le livre entre les mains.