Page:Ricard - Les Chants de l’aube, 1862.djvu/301

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« AtMt), q~’ewaJM-wot, qui, de etMMurt p ! <t ! atiTe<t,
Epounatut he ! M noa gattea trop cmintivM,
AttrixtMnotMviwàhvohtdatrepM ?

— « Nom voabnwttt pitié ; noutvoutona, noua, mauditos,
« Que voua imptohea Dieu pour noua dtte-t’hu dites
Gfàce aux dMnaét, Seigneur, ne les ouM ! »

II
DEUXIÈME SONNET

« Ame ! quel est l’enfer qu’habitent vos labeurs ? o
Et pourquoi souCTrez-vous ? Ce Dieu do la clémence,
Quel crime punit-il en vous ou quelle offense ?
— « Ce Dieu de la vengeance, il punit nos matheurs !

« Toi qui parles, tu peux sur nous verser des pleurs t
« On sait, quand on souffrit, comprendre ta souffrance
« Un nœud t’unit à nous écoute et fais silence
« O damné de l’amour, apprends donc nos douleurs

« Nous aimons, nous aimons ! Tu connais ce supplice ?
« (Nous sommes, comme toi, tes damnés de t’amour :)
« Sans être aimé jamais jamais non pas un jour !

« Pas une heure – o Seigneur ! la voilà ta justice !
« Ncus pleurions sur la terre et nous pleurons ici !
« Pourquoi Ss-tu l’amour si tu le 6s ainsi ? t