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l’iman.
Voyez la canaille ! Leur coupe-t-on les cheveux en forme de couronne ? les fait-on chanter au lutrin ?
le moine.
Dieu nous en préserve ! ils chanteraient faux : on leur coupe la tête.
l’iman.
Voilà ce que c’est. Je suis d’avis de la leur couper à tous, jusqu’au dernier.
le moine.
Oui, mon frère ; nous la leur couperons, jusqu’à ce que la volonté de Dieu soit faite sur la terre comme au ciel, c’est-à-dire, jusqu’à ce que tout le monde laisse lier et délier au Saint-Père, et qu’il n’y ait par conséquent qu’une foi et qu’une loi.
Ici le moine embrassa tendrement son compagnon, en disant :