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Histoire

Myl. G. Sa Femme…

Myl. L. Est une sûreté pour la constance d’une résolution qui lui fait tant d’honneur.

Myl. G. Rien de mieux, chere Caroline. C’est le vœu que je ne cesse pas de répéter. Ne reste-t-il rien ?

Myl. L. Ainsi…

Myl. G. Ainsi…

Myl. L. Ne faites point attention aux mauvais raisonnemens de Charlotte…

Myl. G. Graces très-humbles, Caroline… Aux mauvais… de Charlotte.

Myl. L. C’est l’avis de votre très-affectionnée Sœur, Amie, & Servante.

Myl. G. Oui-dà ? & Servante.

Myl. L. Donnez-moi votre plume.

Myl. G. Que n’en prenez-vous une autre ? Elle l’a fait, & vous allez trouver ici son nom. Caroline L.

De tout mon cœur, Henriette ; & répétant ici mes vœux fort ardens, pour qu’il n’arrive rien de ce que j’ai si sagement appréhendé, car je ne voudrois pas me faire la réputation de sorciere, si fort à vos dépens & aux miens, je vais me souscrire aussi votre non moins affectionnée Sœur, Amie & Servante,

Charlotte G…

Mon Frere m’apprend qu’il fait partir deux Lettres, l’une pour vous, & l’autre pour Madame Sherley ; toutes deux, je n’en doute point, pleines de la plus tendre recon-