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ZEN.

Zénith s. m. Terme d’ Astronomie. Prononcez Zéni. Celui des poles de l’horison qui est sur nô:re tête.

Zenith. Terme de Géographie. C’est le point vertical qui dans le ciel correspond perpendiculairement à la tête d’un habitant.

Zenobie, s. f. Nom de Reine qui fut célèbre pour son courage, qui de quelque endroit de la Terre, gouverna l’Empire d’Orient, & qui fut enfin vaincue par Aurelien.

Zénon, Nom d’homme. (Il y a un Empereur & un Philosophe qui ont porté le nom de Zénon.

ZEP.


(.~On re lèrt quelquefois de ce mot l’OUt d~é- R;~,·~cumcno[ t,& (ur tout quand on veut marq uer q u on n dhmc- point une chofc, parce qu’elle n’a aucune val~ ur, ou..quand. il s’Jgit du prix de quelquechofe qu’o n achette qu’on mat- chande ,ou qu’on vend.( Je n’ co dounerois pas on %.tft . Vous n’en :lU rez pas en IJn %.eft.davât:1ge. }en’c:n qu tr~i pa s ~~n :u(l.J • { t ’fiC Des hauts c(prirs le leur cft le Z énith. Reg Satiie 9·

· z cft. Cc mot d’t quelque fois un e maniere d’inter]e8Jon • de la.. quc:llc o n fe fcrt en r!ant dan s le burle{q ue: dans les ~.au-de.. yiles ou autre 1-, aretlles ch~!1fons, ~ qu on c:mplole pou- marquer qu’une chofe ge réoffira pomt. (_ll ~tend.:a routa... bici. ’{Jft, comme il a [>.’is Dô!e.) ZéNoN,[ m. ZEP. ZtB HlNi , Sibeline, Sébeline,[.f. Mofl ficu r Briot Rij/t}’e dt · t’Em~ire Otom~n 2.,F:Jition, c.4. page 67 .écrit;On tro uv a a ans %iPHIRE , Zêphir, f. "’· On dit poëfie %.{phi~, & x,f’~hit au Ja fo urrure de MartreSilulint de certains caraélérc:s ma~ iq ues. ft ng ulie r . N_éanmoins Je i-, Ius ufité c’elt z:. éphirc, (oit ~n Vers, -qu efqu es autres difen ’ Sebiline, ma1 s on cro 1t qu’1b p.uienc fon en f>r o fc: . Ma;s au plurid,au contraire, %. éphirs cft. bea u - mal & que k()lus few cfi de dire Zibéline, confornoe:mcnc c ou p plus en ufage q ue %.sphir•s , &. Liu tout eh Profe, où aux ltal.tens, <}ui apel!ent cc:t ~ni~al Zibellino .. Voie1: _lc I?i- lon ne die prefquc jarnois z.éph ires, mai s :r.lph •rs. ( Le t.lphire él-i o nn:llfc de a Crofca. La Z1bchae donc , p u1fquc: Z tb ehnc: tlt u ne forte de vent dou~, agréa ble, & favorable·aux cbo- y a, eH un animal Duvage qui rcllemb le à la Martre & qui a fts de la cerre.Un doux U pb1rc. .Ab!. une peau dont on fait grand cas; ccue peau dl d’un t,:es- En cee endroit le: baûmc, en cet autre la mir re bea! no_ir ,& qudg~efois d’un blanc ton ludam. La peau de M’en voient leurs pa rfum s fur 1aîte du z.èphirt. la Z 1bd mc fen à bure de tres- belle !c tres.. bonnc:.s fowruies • G.Dduu, Poëf} e; , r :P"rtft, Et,L~g.l!e 4 · . Q’!e 1amoureux-~ e~hzr hHco me Ion maru.re.. ’ZlG. ZN. Z1z. , . Go~uu. ~oëlies.J. . fum ie 3 . ’Eglog ue. 1es z. tphtrs fulatram.Â11t. Ztc.ZAc ,fm. Petits morceaux de.~ois plats d’un côr~ . & _d~üc-» • Le beau:x tems revient a’fec les- x. éphizs.. en forme ~e l’o fangc ,mais clo uez de telle forte qu 1ls 1oucut. C•fl•r, Lettre.c , . ( Do nner une letrre avec un ’lig -zac.Faire un zig-zac.) Toi que les aim~bles %.éphirs Zig-.z.ac. Terme de Ptllttier. C’dt une forte de manchon de · Echaufent <bunou reu-x (o u pirs.. chat k de martre. ( Vendez-moi tm z..ig-z.•c . Voila un de• God . t oë(. l.. p~t.rtie, CtJntiquth plus beaux&: des p lru jolis %.tg-%.•cs.de l?aris.) Vous qui durant la faifon Ztnzembre. V ·Gingembrt. Où les âthirt f.onten p ri fon Zt NZQUN, [.m. T erme de L~inier.Sort~ de laine qui c:~ 4’u_no I::ch autez nos fr oides campagnes ~ couleur rongeâtre,& dont on fe iert pout fa 1re de tap dlenes. God .poëf z. .pMt, P~r~,phr~~fe du P{iAMml CXI:.VIH ., QJ!elques un s prononcent gingolin , _mais _la vtaie p ro non- ciation c’eft Z in%;olitJ .(. Achet er du zu~~hn. ~ . . . Z ER. 1e ZtZANlE,{ . f. Ce mot vient du Grec,ou tl ftg’:ltfie ~-vra!e~a15 . . •. . . . en· François da o s un fens fig~ré, il fig~16c.~•fèord~ D1-vijion. ~ER o.?(.~· -r:erm,e d’ A,..th"!~ttiJUL•. _ Q"l veut d!re, on,o & qu t Di/[tnJ!i.on . Le mot de junte_ !’~ fe ~tt guet.c qu en pa rlan~ ne llg~Jfie n,c n a l,a pl~cc ou tl dt mt s.( ~~rtez- la. ~n %.~ro!CC’~ · de religion QU de matiéres de pte te,,& tl y a r:nem~ des gen~qu• te aditton dun z erO> a quelqne autre chtfre, le f.m valo tr dn Je t rouvent un peu vieux. ( 11 seme l11 .iz.lfnu , lliUnll fès . fois autanr,fi·on ajoute deux il viend ra cent fuis aurant,&c. confrércs )· t 11 Zér~,_ Ce mot & quelquefois ft%U-rf ~Ct dit dts p erfon~(.oos. Zcclt. V. Soc’lt... (On dit d·un ho mme que c’e (l’tm %.ero,pour mar<lJ.l e que c el1 , z(()D. Z0 N. peu de chofc:s , que ,·ett un homme inut1le , &. q~i uc peut . lien, · Z a DIAQ!JE , ( 11J. Terme de Géog ~a,hi~- C’~ un cercle ~ù. Conlt Z ES. 1 les douze Signes dleftcs & gu1 fe u re obhqut m<::nt duo tro- . piq ue à l’autre. D’autres’ difent que le ’{.odi ,. q•e dt un grand! 7.E sr ,{m. C’~fl d’o rdinaire Uil petit morce:~ud’écorc~d’oran - ce rcle rC’préfent~dans les gl obes cerrdtrcs , & dans les Ma- gedont à la fa ve ur d’une chandelle alumée on exprime une pC’mondes par deux demi cercles qui It:ifemb icnt à dc:ox atcs, . 1o rte de jus dans une tafT’c , ou d:t ns urr verre de VlTll)Olr lui l’un d cca & l’autre !k là !Equateur. . donner un petit g nût d’or~gc. ( Un. bon_zefi. Co uper d<"s z0~. Sorte J•interjeélion dont on fe (C’rt pour mar9ucr la •1~ zdts. Donn c’l:· moi un ’Zeft, te vou :; pne. Fa tre des zdh.) gueur a~ee laytuelle on trapt: un e perfonne. (_Il h1t donna un Z eft, f m: Maniere de bourfe de cuir tm peu·longue au bout de c;oup de bâton fur les épaules, Zon, & s ’enfUit. .t . Jaqaell e il y a un mo rc ea u d•ivoire qui a plufieurs peri s trous ZoN!, (.(.Terme de Géog r~tphie , qui en Grec,& ’Lann veu~ & da ns laquel k on met de la poudre de Ciprc po ur poudrer dire C rin turt. C’dl un efpace de.t~rre coutc:n entre dcur. les chcvenx. ( Je pn udrc ma peHUIJUC avcc UA zdl. ) • cercles . ( 11 y- a cinq unes, deux fro1de~ , deux t 1;étées. ~ Zi/1..., (.m-. Ce mo t fe dit en pJJrlJJnt d e no ix. C’d l: une maniére u!’e ci nqui~me qu ’o~ . anellc: %.071 ~ !Of’rtli~. Les Ao~1tn s cr c;n- devgrolfc peau qui rie nt :JUclqye cho~ de la narurc du bois,& o 1e nt que cette dern 1ere {ont ~totr 10hab1tab!e,mats les vota~ ctlli Cepare la noix en · <kux. { Je ne vous do nnerais pas de ges qu’on a faits aux r, aï s qui font fo us la hgp~ ont décou.- ula tm.ufl.lie nt~i.x, qui cil fort peu de chofc.) vtrt que Les Anciens s étoicnt. twmncoz.: l

FIN