Page:Richepin - Les Caresses, Charpentier, nouv. éd.djvu/144

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
134
les caresses


De voir mes torts expiés ;
Car ma force est à tes pieds,
Car tes yeux sont mes guêpiers ;

Car devant ta beauté fraîche
Mon orgueil fume et te lèche
Comme un feu de paille sèche ;

Et je trouve qu’il est bien
Que je reste à jamais tien,
Toi la chaîne, et moi le chien.