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Page:Richepin - Les Caresses, Charpentier, nouv. éd.djvu/261

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nivôse


Alors je l’ai traîné jusqu’au bord de la mer
Où les pleurs en tombant se noient au gouffre amer,
Où l’on n’a pour témoins que la vague et la roche ;
 
Mais la roche restait muette de stupeur,
La vague en frissonnant fuyait à mon approche,
Et les monstres marins en avortaient de peur.