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Page:Richepin - Les Caresses, Charpentier, nouv. éd.djvu/289

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nivôse


Pleins du trésor de tes charités merveilleuses,
Tes yeux bleus se faisaient plus doux que des veilleuses ;
Câline, tu pressais sur toi mon front en feu ;

Tu me berçais avec ta chanson consolante ;
Et tandis que mon mal s’endormait peu à peu.
J’écoutais gazouiller ta voix rossignolante.