Page:Rictus - Doléances, 1900.djvu/39

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Eun’ fois j’ai cru que j’me mariais
Par un matin d’amour et d’Mai :

Il l’tait Menuit quand j’rêvais ça,
Il l’tait Menuit, et j’pionçais d’bout
Pour m’gourer d’la lance et d’la boue
Dans l’encoignur’ d’eun’ port’ cochère.

(Hein quell’ santé !) — Voui j’me mariais
Par un matin d’amour et d’Mai
N’avec eun’ jeuness’ qui m’aimait,
Qu’était pour moi tout seul ! ma chère !