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Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/213

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Ah ! Ouvrier, pauvre Ouvrier,
mon copain, mon poteau, mon frère,
souvent mon cœur se désespère,
comme il est dur de « t’affranchir ».

Non seulement de ta misère,
donc, de ton enduit séculaire,
mais encor de tes préjugés,
aussi de tes illusions
des sophismes et des clichés
du jargon révolutionnaire.

Sans oublier la Politique,
Poison de l’Énergie Pratique
et de la Beauté poétique
dont meurent Gaulois et Latins.