Aller au contenu

Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/219

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Mêm’ dès ce soir en rentiffant,
que tu m’aies entendu ou lu,
je t’ordonne de m’obéir
et de rebiffer tous les jours.

Si tu t’ nettoies comme je dis,
chaque soir et chaque matin,
non seulement, fleur arrosée,
ta peine sera reposée,
mais avec la bonne santé
tu retrouveras ta gaieté.

et je te le prédis soudain
tu verras clair dans ton Destin.

Il t’apparaîtra tout à coup
que la vraie « Société future »
s’rait de lâcher le Machinisme
pour retourner à la Nature