Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/33

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ses idées s’ brouill’nt, son cœur se gonfle,
et son front ridé dans les mains,
à tourner, r’tourner son malheur,
tout d’un coup jaillit sa douleur
su’ sa pauv’ gueule en deux ruisseaux ;

Et l’ restant d’ la nuit là, y d’meure
et l’ restant d’ la nuit là, y pleure
su’ sa limac’ de cravailleur…..

su’ sa pauv’ liquette à carreaux.