Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/93

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Quiens, tette un coup…, v’là eun’ bouteille,
attends…, c’est d’ la fin’ « Grand Marnier » ;
allons Julot, voyons ma vieille,
hardi ! du cœur et du pognet.

Na ! maint’nant trott’ su’ la carpette
en douce,… enlève tes… escarpins ;
pas par là, c’est la sall’ de bains,
où qu’ tu crois qu’y carr’nt leurs pépettes,

Avance, y va falloir gratter,
on n’en est encor qu’au prologue ;
pas par là non pus, c’est les gogues !
Ben mon pot’, t’es rien effronté !

Non ! Allum’-moi leur gueulard’rie
(ah ! on n’est pas chez des biffins !)
Les vach’s ! ça croût’ dans l’argent’rie
pendant qu’l'Ovréier meurt de faim !