Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1897.djvu/148

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Et m’ les pousser dans des étoffes,
Car pour moi, quand l'turquois est gai,
La pir’ de tout’s les catastrophes
C’est d’êt’ mochard et mal fringué.


     V


En attendant, les gas d’ la Haute,
(Ceuss’ qui nous sont dévoués l’hiver)
Se caval’nt et vont s’ mett’ au vert ;
Si gn’a d’ la dèch’, c’est-y d’ leur faute ?

Sûr que non ! Y z’ont fait ripaille ;
Mais, c’était pour les malheureux
Et y sont quasi su’ la paille,
À forc’ d’avoir carmé pour eux.