Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1897.djvu/31

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Quand j’ pass’ triste et noir, gn’a d’ quoi rire.
Faut voir rentrer les boutiquiers
Les yeux durs, la gueule en tir’lire
Dans leurs comptoirs comm’ des banquiers.

J’ les r’luque : et c’est irrésistible.
Y s’ caval’nt, y z’ont peur de moi,
Peur que j’ leur chopp’ leurs comestibles,
Peur pour leurs femm’s, pour je n’ sais quoi…