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II



Steinlein - Jehan Rictus Le printemps


Pis v’là des z’éclairs, des z’orages
Et d’la puï’qui vous tombe à siaux,
Rapport à d’gros salauds d’nuages
Qu’ont pas pitié d’mes godillots.


Car c’t’épatant, d’pis quéqu’s z’années,
Les saisons a sont comm’pourries ;
Semb’que l’Bon Guieu pass’qu’on l’oublie
Pleur’comm’eun’doche abandonnée ;