Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/241

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Doit gn’y avoir des plumards couverts
D’égledons de fourrur’s et d’peaux,
Ousqu’y fait doux, ousqu’y fait chaud,
Ben moi.. j’suis dehors en Hiver.

Et v’là qu’a z’yeutes ces Masons,
Aveug’s et sourd’s comm’des Prisons,
On s’dit — « Quoi qu’y peut s’y passer ? »
Tous ces moellons forcés d’se taire,
Ça doit n’en cacher des mystères,
Mêm’que c’est terribe à penser.

Du haut en bas d’ces six étages
Pens’nt-t-y un p’tit peu à c’qu’y font ?
Ben sûr y en a qui naiss’nt, qui meurent…

Les Masons