Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/253

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La maison des pauvres


(Gn’en aurait un dans ma Mason
Un grand… un immense… un rupin)

Ousqu’y aurait des balançoires,
Des hamacs… des fauteuils d’osier
(Pou’pouvoir fair’son Espagnole)
Et ça s’rait d’la choquott’le soir
Quand mont’rait l’chant du rossignol
Et viendrait l’odeur des rosiers.


Mais l’Hiver il y f’rait l’pus bon :
Ça s’rait chauffé par tout’s les pièces ;
Et les chiott’s où poser ses fesses